L’étude DRIIV a eu un rôle décisif pour démontrer le bon profil de tolérance et l’activité par voie intraveineuse et pour établir la dose active utilisée aujourd’hui dans les études en cours DRIIV-1b et REVOCAN portant sur l’association d’AsiDNA™ avec respectivement la chimiothérapie et des inhibiteurs de PARP

Paris (France), le 27 août 2020 – 18h00 CEST – Onxeo S.A. (Euronext Paris, NASDAQ Copenhague : ONXEO), ci-après « Onxeo » ou « la Société », société de biotechnologie au stade clinique spécialisée dans le développement de médicaments innovants ciblant les mécanismes de réponse aux dommages de l’ADN tumoral (DDR) pour lutter contre les cancers rares ou résistants, annonce aujourd’hui la publication dans le British Journal of Cancer des résultats finaux de DRIIV, étude à dose croissante de phase 1 d’AsiDNA™, son inhibiteur « first-in-class » de la réparation de l’ADN tumoral, administré par voie intraveineuse (IV). L’étude DRIIV a eu un rôle décisif pour démontrer le bon profil de tolérance et l’activité d’AsiDNA™ administré par IV. La dose active optimale pour le traitement d’association a été établie à 600 mg et est utilisée aujourd’hui pour l’évaluation d’AsiDNA™ en association avec des chimiothérapies (étude DRIIV-1b) et avec un inhibiteur de PARP (étude REVOCAN).

Cette étude ouverte à dose croissante a été menée dans 4 centres en France et en Belgique (Institut Curie —Paris, Institut Claudius Régaud IUCT—Oncopôle Toulouse, Centre Léon Bérard—Lyon et Institut Jules Bordet—Bruxelles).

« Je tiens à remercier chaleureusement les équipes d’Onxeo et celles des quatre centres d’oncologie renommés qui ont permis aux patients un accès le plus rapide possible à AsiDNA™ dans cette étude clinique qui constituait une étape clé pour Onxeo », a commenté Olivier de Beaumont, directeur médical d’Onxeo. « DRIIV a confirmé le profil de tolérance favorable d’AsiDNA™ et a validé son activité dans les cellules tumorales des patients au travers de l’activation marquée de ses cibles. De plus, la dose active optimale de 600 mg a été déterminée et est actuellement utilisée dans nos études en cours avec AsiDNA™ en association. Grâce à son mécanisme d’action unique de leurre agoniste, AsiDNA™ a à la fois la capacité d’agir en synergie avec divers agents endommageant  l’ADN et d’abroger la résistance à des thérapies ciblées comme les inhibiteurs de PARP. Nous sommes impatients de pouvoir annoncer, dans les prochains mois, les résultats topline de DRIIV-1b, extension de DRIIV qui évalue l’intérêt clinique d’AsiDNA™ en association avec le carboplatine et le paclitaxel, et, début 2021, les premières données de REVOCAN, étude visant à démontrer que l’association d’AsiDNA™ à niraparib stoppe la résistance tumorale à cet inhibiteur de PARP dans le cancer de l’ovaire en récidive. »